Le souffle, c’est la vie !

Les différents événements de la vie impactent l’amplitude mécanique de notre respiration : Le stress, la fatigue, les contrariétés liés à la vie moderne, ont un effet évident sur notre manière de respirer.

Ainsi, si nos petits enfants respirent amplement, en laissant leur abdomen se gonfler à l’inspiration et se dégonfler tranquillement a l’expiration, nous sommes très nombreux à l’âge adulte à ne respirer que superficiellement !

Le stress peut donc nous empêcher de respirer convenablement mais, l’inverse est vrai aussi. On créer du stress lorsqu’on respire mal.. C’est un peu l’histoire du chien qui se mord la queue !

À l’inspiration, le ventre rentre ; à l’expiration, il sort — l’inverse du mouvement physio ! Ce n’est pas terrible parce que cela empêche le diaphragme de descendre correctement pendant l’inspiration, alors que ce mouvement est essentiel pour pouvoir remplir nos poumons correctement. Cela fait que le corps s’oxygène moins efficacement et là, bienvenue fatigue !

Des « petites » retenues de souffle involontaires, souvent pendant une concentration intense (moi la première, pendant mes partiels.. je battais tous les records d’apnée !). Cela peut impacter le système nerveux car ces apnées réflexes vont provoquer irritabilité, fatigue nerveuse et tensions physiques souvent localisées dans la nuque et le haut du dos).

Ce qu’il faut retenir..

Notre respiration varie avec nos activités et notre humeur, mais l’inverse est vrai aussi : en allongeant le souffle, nous pouvons revenir à un état émotionnel plus calme et plus stable.

Et si vraiment c’est compliqué pour vous de mettre en place une respiration plus consciente et plus profonde, vous avez une séance tous les jeudis midi spécialement dédiée à cela..


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